Le géant du secteur de l’énergie Areva, vient de signer un contrat monumental avec la Chine, pour la construction d’une usine ultra moderne de traitement des déchets nucléaires.

Mardi 9 décembre 2018, les actionnaires et dirigeants d’Areva ont du pousser un grand ouf de soulagement. Alors que le groupe énergétique français, miné par les polémiques et les gestions hasardeuses, est au bord de la faillite, la signature d’un contrat gigantesque avec la Chine, faisait presque office de dernière chance.

Et heureusement pour les salariés de l’entreprise, ce contrat a bien été signé.

D’un montant de 10 milliards d’euros, il concerne la construction d’une usine ultra moderne de recyclage des déchets nucléaires. Grace à ses technologies de pointe, Areva parvient à recycler plus de 80% des combustibles nucléaires (uranium) utilisés pour faire tourner les centrales nucléaires.

Une avancée économique, donc, mais également environnementale, puisque le nucléaire est la seule alternative suffisamment productive aux hydrocarbures, responsables du réchauffement climatique, mais que les déchets de cette production sont particulièrement polluants.

Plus de dix milliards d’investissements, donc, pour New Areva, l’activité combustible d’Areva, selon le protocole commercial signé avec l’agence nucléaire chinoise, CNNC.

 

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