C’est une année particulièrement foisonnante pour le festival d’art contemporain, la Foire internationale de l’art contemporain (Fiac), qui s’est tenue la semaine dernière. Une richesse des œuvres, qui a paradoxalement instillé le doute chez certains observateurs.

Le célèbre rendez-vous mondial de l’art contemporain, la Fiac de Paris, a ouvert ses portes, jeudi 19 octobre 2017. Comme tous les ans, les artistes et les œuvres ont été particulièrement nombreux et le Grand Palais aura été le principal théâtre de ce rendez-vous.

ainsi, plus de 200 galeries et espaces ont participé à cet événement, pour plus de 1000 œuvres exposées et performances jouées.

Pourtant, comme le souligne Le Monde, « c’est sans doute de cet horizon que manque la FIAC. A l’occasion de ce grand raout de l’art contemporain, qui réunit chaque automne la fine fleur des marchands et collectionneurs d’art de la planète, le monde semble s’être absenté quelques jours. Et quand il est convoqué, c’est avec maladresse. Comment s’en étonner ? La biosphère du Grand Palais tourne à circuit fermé, c’est l’une des conditions de sa réussite. »

Un débat sur ce festival qui a aussi été discuté sur le plateau de l’émission de Thierry Ardisson, « Les terriens du dimanche », sur Canal+, où certains invités ont dénoncé des escroqueries.

A l’image des célèbres sketchs des Inconnus, dans les années 90, ou plus récemment du film qu a remporté la Palme d’or au festival de Cannes, « The Square », le milieu de l’art contemporain est souvent moqué et/ou décrié pour son snobisme et le néant de certaines créations.

Le Fiac 2017 de Paris aura sans doute relancé le débat à son insu…

 

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